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Le Clown Spirituel
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Le Clown Spirituel
  • >Clown : personne comique, pitre, un peu ridicule ... nous le sommes tous un peu ! Spirituel : qui est de l'ordre de l'intelligence, de la morale ... nous y aspirons tous ! Capacité de remettre en cause ses croyances à tout moment. Esprit ouvert à 100%
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23 février 2013

Quoi faire par Joel Labruyère


"C’est avec une certaine réticence que je me propose de répondre à cette question, car c’est toujours
une lourde responsabilité d’avancer une solution concrète. Mais face à la demande qui s’exprime
dans les courriers et les conférences, je vais essayer de relever le défi, sans prétendre apporter LA
réponse valable pour tous.
Il y a tant de livres de sagesse en circulation que nous savons tous approximativement quel
comportement adopter face à la vie. Il y aurait même un peu trop de solutions, et toute cette
sagesse, souvent bonne d’un point de vue général, nous laisse pratiquement démunis. C’est ce que
j’ai cru comprendre en dialoguant avec des dizaines de chercheurs de vérité, qu’ils soient déjà
engagés sur une voie, ou bien en quête d’une spiritualité nouvelle.
La difficulté est insurmontable lorsqu’on s’adresse globalement à des personnes qui ne sont pas sur
la même longueur d’onde. Certains désirent une thérapie, un système de développement personnel,
une méthode de « mieux-être », ou bien, sont en recherche d’un absolu, ce qui est une toute autre
aventure. Il ne faut pas confondre.
Aujourd’hui, les gens voudraient tout à la fois, et ils demandent à la spiritualité de leur apporter une
libération psychique, la connaissance des mystères, la conscience cosmique et la santé physique.
Alors, arrivent les marchands, selon le principe de l’offre et de la demande, avec le grand déballage
du new age dans lequel nous picorons un gadget, une potion de jouvence, un rêve cosmique sous
blister, une extase kundalinesque, un vol-plané hors du corps, un boostage des chakras, un contact
du 3° type mais de seconde main, une régression karmique, une méditation sur le céleste nombril,
une déprogrammation génétique…ouh lala, et mille autres performances excitantes que les VRP de
ces spécialités facturent au prix du miracle en barre. Un misérable miracle la plupart du temps. Et
l’on saute à un autre.
De manière générale, on peut dire que la plupart d’entre nous ne recherchons qu’une seule et unique
chose : être en paix avec soi-même et notre entourage, et en bonne santé pour jouir tranquillement
de la vie. Après quoi, les vaches seront bien gardées.
Ce n’est donc pas la peine de parer ce désir de bonheur de toutes sortes de connotations
métaphysiques ou spirituelles. Mais le new age est ainsi. Il veut donner un caractère extraordinaire
aux choses les plus triviales. Se masser les pieds devient une « thérapie pédo-énergétique », et la
détente mentale est une occasion de « méditation sur la vacuité », ce qui prouve que pendant la
sieste, nos aïeux accédaient au Satori sans le savoir. Ils n’avaient guère besoin de booster leurs
chakras pour se sentir en forme. Ils ne méditaient pas à la pleine lune pour la paix et pourtant, leur
monde était moins tordu que notre grand-guignol international.
Lorsqu’on commence à parler de « pratique énergétique » c’est le signe que l’on s’est déjà écarté du
flux de la vie. Lorsqu’on veut changer le monde extérieur, c’est que l’on est déporté de sa propre
intériorité et qu’on a oublié à se changer soi-même. Tout cela est un signe d’impuissance et de peur.
C’est le nouvel âge noir de la confusion.
De plus, face aux nuisances, aux pollutions et aux manipulations de l’ordre mondial, on voudrait s’en
protéger concrètement. Alors, puisqu’on les attire par notre désir sécuritaire, les marchands de
systèmes de « protection contre les reptiliens » viennent déballer leur attirail technologique bidon.
C’est affligeant mais il faut se taire pour ne pas être « négatif ».
Cette situation exprime une réelle détresse et je n’ai pas envie d’ironiser plus longtemps. Nul ne peut
prétendre y échapper complètement, et lorsque nous ricanons en lisant les annonces dans les
magazines spécialisés, qui pourrait jurer qu’il est lui-même tiré d’affaire ? Pas moi en tout cas, et
pourtant, Dieu sait si les revues new age ou les périodiques gratuits remplis d’offres de stages
gratinés sont comiques quand on connaît un peu les ficelles et le profil de tous ces bienfaiteurs de
l’humanité. Sauf exception, les aveugles conduisent les borgnes dans la trappe où ils sont euxmêmes
tombés.
S’ils le faisaient par générosité idéaliste, on pourrait leur concéder un crédit de sincérité, quoique la
sincérité ne soit pas la vérité, mais force est de reconnaître que ce commerce spiritualo-thérapeuticonew
age est vénal au plus degré. C’est ce qui le fait exister.
J’ai découvert assez tardivement le secret que tout pragmatique endurci connaît de façon innée
depuis sa jeunesse : ce qui est gratuit ne vaut rien. Il faut faire payer cher ce que l’on veut faire
passer pour précieux, sinon les gens dédaignent l’offre. Combien de peintres n’ont-ils pas vérifié
qu’un tableau offert gratuitement échoue au grenier, alors que la croûte de supermarché, payée au
prix fort, demeure bien en vue sur le mur du salon.
Papa Freud avait pigé le truc. Pour faire croire au quidam que s’allonger sur un divan en épanchant
ses états d’âme, est d’une valeur incomparable pour son salut, il faut le faire casquer. Plus il raque,
et plus il est obligé de croire dans le résultat positif de la cure.
En alignant les zéros sur son chèque, le « patient » se souvient avec reconnaissance combien SA
thérapie est salutaire pour son cher égo.
Le nouvel âge applique les règles établies par la veille école des filous patentés en manipulation
thérapeutique. Sauf exception, bien entendu.
S’il n’y avait pas l’argent et l’avidité, le paysage de la santé et de la spiritualité serait fort différent. On
ne trouverait que des « produits » religieux, philosophiques ou thérapeutiques relativement efficaces
et éprouvés !
Mais si vous préférez payer pour décoincer vos chakras rouillés, ou pour apprendre d’un plus grand
névrosé que vous, que vous avez peur de votre peur - « gestion du stress » - alors que veut le
peuple ? Si vous voulez débourser pour du vent, alors, les charlatans sont là et ils ne vous lâcheront
pas de sitôt. Les renards vous suivront à la trace d’un stage à l’autre en se repassant le nom du gogo
jusqu’à ce qu’il en ait marre, et que de désespoir, mais pour le coup presque sauvé, il se décide à se
prendre en charge.
L’illumination survient au bout du rouleau, ce qui veut dire qu’il faut avoir été roulé dans la farine
avant de connaître l’éveil.
C’est ainsi que les choses fonctionnent globalement. Parfois, les « formateurs » les plus pragmatiques sont moins
nuisibles que ceux qui se croient investis de la mission sacrée de vous sauver ou de vous guérir, en dépit de votre karma
et même contre votre volonté.
Les sorciers-thérapeutes investis par une autorité médiumnique sont une calamité plus grande que les maux qu’ils
prétendent soulager. Les complication karmiques qu’ils génèrent sont à la mesure de leur prétention arrogante si bien
dissimulée derrière leur sirupeux discours et les références aux « êtres de lumière » qui pompent votre énergie à travers
eux.
Il est temps de rejeter les Diafoirus des thérapies « alternatives » autant que les charlatans patentés
de l’ordre des médecins. Sans faire d’inquisition, ne les engraissez plus.
Il est temps de dire que la santé consiste en un bon fonctionnement de la volonté et par conséquent
du système glandulaire qui obéit aux ordres de la volonté - le grand-prêtre de votre temple intérieur.
L’organisme entier répond aux ordre d’en haut, de votre volonté.
Ce n’est pas si compliqué, mais encore faut-il savoir lui donner des instructions claires, car
l’organisme n’aime pas qu’on lui mente, c’est ce qui le rend malade et le tue finalement.
Il est temps de dire que la spiritualité est une subtile alchimie interne découlant d’une aspiration
sincère pour le divin, et non un marchandage avec des ectoplasmes de l’astral contre la promesse
d’une minable amélioration de la farce planétaire. Pour la santé de l’âme et du corps, il faut
demander le meilleur à l’univers, et l’on ne peut pas se tromper.
Avec une volonté libérée des incertitudes et des craintes et un coeur qui désire la vérité, on est tiré
d’affaire sur le plan de la santé psychique, physique et spirituelle. Les épreuves et les difficultés sont
certes inévitables mais elles peuvent être transmutées en conscience, au lieu de les faire avorter en
s’adonnant à des pratiques ridicules qui sont une insulte à la toute puissance de notre volonté. Si l’on
manque de confiance dans la toute puissance de notre âme-esprit, si l’on préfère s’en remettre à des
autorités extérieures, comment espérer que notre faiblesse nous procure la santé et la force ? Il faut
vraiment savoir ce que l’on cherche.
Dans des articles précédents, j’ai lourdement insisté, non sans raison, sur les pièges du nouvel âge
et de ses produits dérivés, et je ne voudrais plus y revenir. Comme vous le savez, la propagande
new age ne dénonce jamais les fraudes de son propre univers, ce qui implique que toute critique
constructive est perçue comme négative et destructrice. Cela est encore une astuce, bien entendu.
La critique est certes un venin qui peut devenir criminel lorsqu’elle est tournée contre des personnes
en vue de nuire. L’habitude du dénigrement entre individus, par la pensée ou la parole, est sans
doute la plus grande cause de mal sur la terre.
A l’opposé, l’identification claire de l’erreur est salutaire, car sans cette discrimination, la pensée ne
peut se structurer et évoluer. Sans le rejet de ce qui est faux et mensonger, la vérité ne peut
apparaître. Il est donc juste de clarifier les mensonges de notre époque, ce que les illusionnistes
n’apprécient guère, bien entendu. Ils font régner la terreur du positivement correct ce qui les protège
de toute justification lorsqu’on les prend la main dans le sac.
En tirant à boulets rouges sur les « channels de Sodome » et autres apprentis-sorciers, c’est un
système d’emprise occulte que je dénonce, car ces personnes - de braves gens au demeurant -
manipulées par des forces invisibles, ne sont pas entièrement responsables, même s’il est utile de
leur secouer gentiment les puces.
Cela étant dit, que peut-on proposer de réellement constructif lorsque la question «que faire ?» est
posée par les rescapés des pièges et des modes ?
Pour la plupart d’entre nous, nous avons la possibilité d’explorer les divers possibilités en matière de
culture, de spiritualité, de philosophie, de thérapie, de science, et même de technologie futuriste.
Si nous n’avons pas tout vu, nous avons déjà une idée des possibilités offertes depuis les années
soixante dans les catalogues célèbres comme les « Enfants du Verseau » ou le « Livre des
possibilités » qui ont marqué leur époque.
Mais tout cela est dépassé. Les choses ont évolué d’une manière extraordinaire et il n’est plus
question de dresser un catalogue des solutions, car nombre d’entre elles se sont avérées obsolètes
et impraticables dans le contexte de la civilisation mondiale où tout ce qui pourrait être valable est
contrôlé, récupéré, et détourné pour servir des buts contraires. Finalement, ce constat d’échec est
excellent pour juger de la valeur de ce qu’on nous propose en matière de possibilités alternatives.
Lorsque le système s’empare d’une « solution » pour se donner bonne conscience, on reconnaît vite
l’arbre à ses fruits. Ainsi, on mesure le cynisme de l’invention du rôle de « ministre de
l’environnement » lorsqu’on connaît les enveloppes que touchent ces messieurs-dames pour
camoufler certains problèmes.
S’il existe un ministère de la santé, c’est que la politique est de rendre les gens malades. Alors, si
vous avez compris le système, vous êtes potentiellement affranchi. Vous ne perdez plus d’énergie à
lutter ou à réformer.
"Nombre de projets alternatifs pourraient constituer le programme d’une nouvelle société, mais il faudrait les
sélectionner et les rassembler, plutôt que d’en vanter les mérites de manière isolée. Or, tout est éparpillé, et
chacun campe devant sa petite chapelle « énergétique ».
La difficulté c’est que nous sommes accablés de solutions, dont beaucoup sont de fausses solutions à de faux
problèmes. Prenons l’exemple du regain d’intérêt pour l’application technologique de l’énergie libre, et le culte
autour de Tesla, l’icône des écolos alternatifs.
Il faut admettre lucidement que Tesla a fourni des secrets terrifiants - inconsciemment ou par désir de
reconnaissance - aux lobbies de l’armement et du contrôle mental. A cause de chercheurs comme lui, il s’est
développé une technologie secrète qui est aujourd’hui tournée contre l’humanité. En lisant l’histoire de sa vie et
de ses recherches, et je ne partage pas l’engouement autour de cet acharné de la « machine à énergie libre »,
mais son cas génial me confirme que « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ».
Sa renommée est aussi déplorable et que celle de tous les grands serviteurs du système scientiste depuis Pasteur,
en passant par Einstein, dont je cherche ce qu’il a produit de remarquable au vu de son extraordinaire
renommée. Si quelqu’un sait quelque chose à ce sujet, qu’il me le dise, car je ne voudrais pas être injuste envers
ce saint personnage de la religion scientifique. Il paraît que même la formule E=MC2 est l’invention d’un
savant moins célèbre. Albert Einstein qu’on voudrait faire passer pour un esprit spirituel, grand lecteur de la «
Doctrine Secrète » de Blavatsky, a tout bonnement occulté les recherches sur l’électromagnétisme universel.
Certes, ces savants ont poussé le bouchon de la décadence irréversible dans l’âge noir, et si nous devons les
remercier, c’est seulement pour avoir accéléré les processus du déclin final. Ce n’est déjà pas si mal. Donc,
merci à ce cabotin d’oncle Albert auquel on souhaite de se réincarner en plombier la prochaine fois, s’il existe
bien entendu un Prix Nobel de la tuyauterie.
En ce qui concerne Nikola Tesla, le malentendu est encore plus grave, car ce génial inventeur s’est servi de
l’éther immatériel pour créer des machines à produire de l’énergie matérielle au service d’une civilisation
déconnectée des énergies sacrées. Je pense qu’il fut le médium d’un certain groupe occulte, et que son cerveau
fut utilisé pour certains résultats, en l’occurrence développer une technologie secrète, ce qu’il ne pouvait
ignorer. (Science sans conscience…)
Le mythe du génial Tesla, « victime de la banque et du lobby militaro-industriel » est symptomatique du
manque de lucidité qui règne dans les milieux alternatifs et écologiques.
Je ne crains pas de le dire en ouvrant la brèche du révisionisme de « l’énergie libre » : Tesla fut le Judas
inconscient de l’énergie libre, celui qui « livre la lumière aux ténèbres ».
Tous les chercheurs qui marchent dans son sillage devront reconnaître un jour que c’est une impasse, à moins
de se prostituer au système militaro-industriel. L’énergie libre doit être libérée du carcan technologique
matérialiste. Elle ne peut être captée et utilisée que dans le cadre d’une civilisation spirituelle, hautement
morale et au service de la réintégration des êtres dans le plan divin. Sinon, elle tombe entre des mains indignes,
se souille et empoisonne en retour ses utilisateurs. (Voir les recherches secrètes en matière d’énergie libre, pour
le contrôle du climat et de la pensée)
Reconnaissons toutefois que la palme des apprentis-sorciers revient incontestablement aux tripatouilleurs
d’énergie nucléaire pour avoir violé le sanctuaire de la nature avec la plus extrême violence et déchaîné en
retour le courroux de la Mère. C’est une affaire à suivre.
On m’objectera sans doute : « Vous semblez faire table rase de la science sur le plan physique ainsi que de
toute amélioration sur le plan moral et spirituel. Que comptez vous mettre à la place ? «
Réponse : A la place, il n’y a rien à mettre, car la civilisation actuelle n’est pas réformable. Elle deviendra
finalement ce qu’elle a toujours été, c’est à dire totalement destructrice de la nature et négatrice de l’âme. Cela
la conduira à sa chute inéluctable. Alors, pourquoi l’empêcher de disparaître ? Voilà ce que nous contestons
dans la démarche idéaliste, c’est l’illusion d’une amélioration progressive de ce qui est voué à la mort. Pourquoi
dépenser autant d’énergie et de bonne volonté pour sauver et réparer ce qui s’oppose radicalement aux lois
universelles ? En d’autres termes, pourquoi entretenir ce dont l’univers ne veut plus, ce qu’il n’a jamais
reconnu, ce qui nie les dimensions supérieures, ce qui viole les lois naturelles, ce qui a été rejeté hors de
l’harmonie universelle afin de ne pas contaminer les autres systèmes galactiques ? Pourquoi s’obstiner à servir
un ordre temporel qui n’apporte que désillusions, souffrances et injustices ? C’est ce qu’il faut se demander.
Cette civilisation planétaire est au service de hiérarchies inférieures qui exploitent l’humanité. Pourquoi les
faire durer plus longtemps lorsque les signes de leur déclin sont apparents et que, par réaction, le vieux système
veut nous enrôler dans son marasme en nous incitant à l’améliorer pour qu’il ne s’écroule pas sur le champ ?
Pourquoi donner à boire au bourreau ?
Ceux qui réparent cette machine internationale à broyer les âmes sont des collabos, aussi idéalistes et sincères
soient-ils. Ce sont des ignorants et des inconscients que le système manipule par chantage sentimental.
On leur dit par la voix des Illuminati en place pour vanter la paix et le progrès : « Cette fois nous serons bons
avec vous si vous nous donnez encore une chance. Nous vous promettons un monde meilleur. Espérez, priez,
émettez de bonnes pensées, et vous hériterez d’une vie heureuse sur une terre pacifiée. Notre planète n’est-elle
pas merveilleuse ? Allez-vous la laisser se dégrader ? Certes non, car vous êtes des êtres de bonté et vous
méritez de vivre heureux. Accordez-nous encore un peu de temps et nous vous promettons de régler les
problèmes de pollution, d’effacer toute injustice, et de mette en place une science de l’énergie respectueuse de
la nature et de votre santé. Nous avons des projets grandioses, et nous préparons pour vous un avenir sublime.
Donnez-nous votre amour, vous qui avez tant à donner ». Vous connaissez ce chant des sirènes.
Il faut être tout à fait innocent pour croire que ces puissances si jalouses de leurs privilèges depuis des milliers
d’années, se seraient subitement converties à la compassion. Non, c’est simplement une nouvelle forme de
politique adaptée à notre changement de mentalité. Voyez le discours humanitaire de l’Eglise qui ne s’intéresse
aujourd’hui qu’aux pauvres et aux problèmes sociaux alors qu’elle a toujours défendu la classe possédante. Si
les puissants sont subitement autant préoccupés du sort des petits, c’est qu’ils leur préparent un gros coup.
C’est la politique. C’est ainsi que l’être humain est manipulé, et qu’une partie importante de l’humanité le sera
encore pendant des temps infinis tant qu’elle continuera à se laisser séduire par le chant des sirènes.
Autre objection : « Votre vision est désespérante même si elle est fondée. Ne faut-il pas pardonner et espérer
que l’évolution ira dans le bon sens malgré la lenteur du progrès et la duplicité des illuminati ? »
Réponse : Je vous renvoie la question. Pourquoi voulez-vous faire durer un système périmé ? Pourquoi aimezvous
tellement votre prison ? Pourquoi ne vous sentez-vous pas libre d’ouvrir de nouvelles perspectives, une
nouvelle vision ? Qui vous a dit que cette civilisation était appelée à évoluer vers une perfection, alors que
toutes les civilisations anciennes ont décliné et disparu ? Qui vous a fait croire que celle-ci était appelée à une
évolution infinie ? D’où vient cette croyance dans le progrès ? Elle vient de la loge internationale – peut
importe son nom : illuminati, pseudo grande loge blanche - qui a établi le programme du nouvel ordre mondial
il y a plusieurs siècles. A force de propagande, ils vous en ont convaincu.
Pourquoi voulez-vous sauver leur civilisation du déclin ? C’est là le signe d’une grande stupidité. Qui vous a
enseigné que vous étiez en charge de l’amélioration de leur système antinaturel ? Bien sûr, vous avez une
responsabilité dans l’avenir du monde, mais ce n’est pas en demeurant un prisonnier servile qui plante des
fleurs dans le camp de concentration en espérant que les maîtres s’adouciront lorsque le camp deviendra un
jardin fleuri. C’est ça l’idéal des utopistes d’un monde meilleur. Qui vous a inculqué une telle illusion sinon les
gardiens du camp ?
Objection : « Ce que vous dites est irrecevable pour nous les idéalistes. Nous croyons que le mal qui sévit sur la
terre n’est qu’un phénomène passager, qu’il provient des erreurs de nos dirigeants, mais non d’une volonté
délibérée de nuire. Nous considérons que la science évoluera peu à peu et que la société va intégrer des valeurs
justes. Le mal disparaîtra alors. »
Réponse : Vous croyez naïvement que les vaccins, par exemple, proviennent d’une erreur
scientifique ! Vous ne pouvez comprendre qu’ils ont été élaborés dans un but secret sans rapport avec la santé
des populations. Vous ne pouvez pénétrer ce qui est ésotérique. Vous êtes incapables de voir le jeu qui se joue
derrière le rideau. Vous êtes comme des enfants devant le théâtre de Guignol du monde. Vous applaudissez les
« bons » et vous criez contre les « méchants », alors que les deux bandes de comédiens n’en forment qu’une
seule !
C’est pourquoi, il ne faut pas prendre parti, mais entrer dans la dissidence intégrale, ce qui ne signifie pas la
révolte. Tout en vivant dans cette société, il faut forer une voie pour une vie nouvelle. Cela commence par une
mutation psychique."

 

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